iPhone 4 blanc repoussé ou annulé: est-ce « l’arlésienne » d’Apple?
Depuis quelques jours, c’est un des sujets les plus discutés sur la toile: l’iPhone 4 blanc. Annoncé en même temps que son accolyte noir, il n’a en fait, jusqu’à maintenant, jamais montré son boîtier maculé en public. Prévu dans un premier temps à peine quelques semaines après le noir, il a ensuite été repoussé de plusieurs mois, attendu alors quelque part à l’automne. Et puis, c’est à nouveau la déception, car Apple annonce à nouveau un report, portant cette fois-ci au printemps 2011, si pas plus.
Il faut bien dire qu’il s’agit là d’un sujet mystérieux, qui tout comme d’autres, ressurgit de temps en temps sous différentes formes. La plus courante est celle de l’acquisition du « précieux » blanc par quelques personnes dans le monde. Il y a quelques semaines, nous pouvions même suivre les péripéties d’un Canadien qui a filmé le déballage de son achat d’un iPhone blanc, depuis le paquet devant sa porte jusqu’à l’ouverture de la boîte. Vous filmez souvent vos livraisons de colis, vous? Même le dévoué Stephen Fry, qui semble toujours présent dans les bons coups high-tech, n’a pas manqué de montrer le sien, d’iPhone blanc, dans un récent reportage.
Il est clair que le doute s’impose de plus en plus. Certains, souvent bien informés comme le site BGR (www.boygeniusreport.com), que le iPhone 4 blanc serait purement et simplement annulé, et que le report au printemps ne serait qu’un subterfuge commercial. Déjà, la raison de ces reports est floue, même si depuis le début on invoque un problème de fabrication des faces blanches, laissant trop passer de lumière. De plus, sortir un modèle quelques semaines avant l’arrivée du suivant (les iPhones sortent en général en juin) serait pratiquement un suicide commercial. Alors comment Applea-t-il pu se mettre dans de tels draps? Peut-être que les folles péripéties de cette année 2010 pour la firme de Cupertino y sont pour quelques chose, avec trop de chats à fouetter et trop d’incendies à éteindre. On a beau être en tête de liste, on ne peut pas avoir réponse à tout.